Septembre 2021, voilà une année et des poussières que notre monde formidable a sombré dans la névrose psychotique, perverse et déséquilibrée d'une pandémie multi-variants.
Le "nous sommes en guerre" pris de plein fouet d'un fier et pédant président sous alcaloïde tropanique qui annoncera un premier confinement fantasmagorique. Restons chez nous alors, pas le choix (cette expression qui reviendra), le monde formidable s'arrête d'une traite ; le travail, l'école et le sport à la maison, tout bien considéré, on positive, on s'adapte (avec cette chance du maintient de salaire, donc te plains pas), le tout sans affolement, car nous, nos proches, nos amis, sommes en bonne santé et ne risquons fort heureusement RIEN de près ou de loin.

Pandémie, variants, confinements, distanciation sociale, cas contact, masques chirugicaux, pass sanitaire, tousser dans son coude, chloroquine, comorbidités, complotisme et j'en passe... Notre vocabulaire a pris du galon, un vrai bouillon de culture scientifique. Les médias formatés mainstream (BFMerde & co) font monter la sauce et poussent à la psychose, ces mêmes merdias (que je ne regarde ou n'écoute quasi pas depuis bien des années) qui veulent continuer d'exister dans un monde où l'on baigne dans de l'actu alternative via internénet et ses robots sociaux (FB, IG, puis Telegram).
2020, la prise de conscience fait très mal. Cette sensation de manipulation par nos dirigeants (et leurs dirigeants) nous palpe du scrotum à la nuque. Mais pour le bien du foyer on va relativiser, continuer (de stagner) et se dire qu'ailleurs il y a le pire (reste à venir).

Back to 2009, j'étais apparemment déconnecté de toute actu journalistique car j'avais sûrement d'autres chats à fouetter. Force est de constater que l'analogue scénario H1N1 et l'assaisonnement à l'identique de la gestion politique Bachelot n'ont pas pris, avec un rejet massif de la population, l'ex pandémie est vite tombée dans l'oubli. Qu'est-ce qui a fait qu'aujourd'hui justement le monde ait sombré dans cette aliénation? Là où les détracteurs se focalisent sur la presse, CNews, Morandini et compagnie, je pense plutôt à nos téléphones 5G ultra connectés qui n'auront fait que relayer (et diviser) en masse toutes les conneries qui se sont dit (et c'n'est pas fini).


Je rage devant toute l'impudence de nos "élites", les Macron, Sibeth, Véran, Castex, Blanquer, Darmanin, Attal, etc. qui vont et viennent de punchlines en punchlines, droits dans leurs bottes condescendantes, au dessus de tout et déconnectés de toute réalité, d'une maîtrise totale et sans faille de la technique de l'autruche et champions évident de la dissension du peuple mouton. Car ça oui, ils ont compris que la populace est gangrénée par le syndrôme du teubê ("ON VEUT JOUIR DANS NOS MASQUES!!!"). Ce n'est pas nouveau tu me diras, ce qui l'est c'est cette indigestion qui en résulte aujourd'hui. L'inquiétude aussi, pour mes enfants, qui baignent dorénavant dans ce monde fini au jus de fruit, qui perdent en insouciance et passent leurs journées masqués pour simplement apprendre et se divertir. Putain de masque.

Les chiffres on les connait, les lanceurs d'alerte complotristes balancent à tout va (un grand merci à Marcel ou Dr Alwest ou Franjo (et les autres) pour la touche humournoiristique), la censure omniprésente fait rage sur les facegrams et encourage les accusateurs accusés à faire front. D'un côté rassuré et de l'autre alarmé, je pète intérieurement un plomb et je boycotte tout ce que je peux boycotter.
J'entends déjà les "oui mais tes proches n'ont pas été touchés, tu peux pas parler". Sauf que voilà beau papa soixantenaire et diabétique prend cher sans prévenir, le covid étant inexistant sur son île depuis les débuts de cette grande mascarade, on frôle la cata période delta. On ne rit pas quand le seul remède officiel à la grippe19 c'est un doliprane et au lit (mais comment on en est arrivé là??). La peur brutale de laisser Papi dans un hopital soudainement muté en hospice du tiers monde. Mes respects au doc de là-bas qui aura pris ses couilles en main et aura prescrit l'Ivermectine, médoc en oneshot ésotérique, qui sauvera notre cher aïeul. Quoi? Un traitement? 



Passons au magique vaccin (micro test 1 2), qui rappelons le, inocule cas contact sur cas contact dans cette prodigieuse pandémie de cas contact variantés... Qu'à cela ne tienne, jusqu'en juillet 2021, il y a zéro raison pour que je passe par la case vaccination (car malgré le fait qu'un grand nombre de bienheureux côté famille et connaissances soit déjà passé au casse pipe, campant sur mes positions, je pète la forme, et je suis clairement informé sur les méfaits de Pfizer & co...), sauf que revirement surnaturel de situation, l'homme de théâtre Macron annonce sans crier gare l'instauration du pass sanitaire (de mes couilles), le vent tourne cash, l'injection devient quasi-ostenta-bligatoire et je ne vais bientôt plus avoir le choix que de capituler face à ma hiérarchie qui le réclame vite vite. On en est là. Malgré tout ce que je lis ou écoute ici et là, objectant le fait qu'ils n'ont pas le droit de nous imposer ça, que ça bardera dans les prochains mois et que le peuple éveillé résistera... je baisse le slip non pas par esprit d'équipe ni pour protéger mes congénères ni pour avoir le droit de poser mon uc en terrasse ni pour retrouver "la vie d'avant", mais uniquement pour pouvoir continuer d'exercer mon emploi (que j'ai la chance d'apprécier) en paix (et donc payer crédits, factures et subvenir aux besoins des miens). Elle est belle la quenelle. On se dit conscient, éveillé mais on joue quand même leur sale jeu (pas le choix encore et encore). Leur pass sanitaire je ne l'ai sorti qu'une fois et demi, avec l'envie de vomir quand finalement je devrai à mon tour contrôler du QmeRde code au boulot (lieu de culture VS assemblée nationale). La goutte d'eau. J'apprends aussi que si je dis NON, des sanctions suivront. La vie et maintenant le job sous menaces à peine étouffées. 

Je n'ai pas de conclusion, car à l'heure où j'écris, cette foutue dystopie politique pandémique est loin d'être finie. La poussée machiavélique si bien semée par l'aristocratie à la tête du monde n'est pas prête de faner, ça va longuement gratter, suffit de voir ce qu'il se passe là bas, aux US, chez nos voisins anglais, allemands, italiens, plus tarés les uns que les autres, et le summum Chinois en finalité, on y viendra. Fuck.